Chapitre 4153 Bédéric, garde du corps le plus fort de la famille Brunelle, a regu une gifle ?! Non seulement Bédéric, mais encore Ardcuin et Maret restaient tous pétrifiés par cette gifle.

Mais ensuite, il y a eu une scéne plus incroyable! Immédiatement apres avoir balancé une gifle a Bédéric, Clément lui a donné une nouvelle gifle avec son revers de la main droite ! Bédéric demeurait encore pantois, mais les larmes coulaient sur ses joues.

En tant qu'un Guerrier a cinq étoiles, il n'a jamais éprouvé une telle humiliation! A ce moment, Clément a bloqué tous les méridiens de Bédéric avec une trace de Qi, et il a dit froidement : Si tu ne veux pas devenir un hoordinaire, mets-toi a genoux ! +10 Bonus A peine Clément a-t-il proféré ces mots que Bédéric a senti que les cing méridiens, qu'il avait débloqués avec tous ses efforts et la moitié de sa vie, ont été complétement bloqués par une force invisible ! Tout pale, Bédéric est tombé a genoux et a crié en éclatant en sanglots: - M. Clément... je vous prie defaire grace...

Pour Bédéric, c’était simplement par les ordres de Gervais qu'il s’est mis a la disposition de la famille Brunelle, donc naturellement, quand ses intéréts personnels étaient en jeu, sa fidélité envers la famille Brunelle a vacillé.

En ce moment, il espérait seulement qu'il pourrait contirEdr d’étre un Guerrier a cinq étoiles...

Clément a lancé un regard dédaigneux a Bédéric et a dit froidement : - Ecarte-toi de moi ! En I’entendant, Bédéric s'est haté de reculer dans un coin en se trainant sur les genoux, et il a dit en étouffant de sanglots: - M. Clément... je touche juste de I'argent pour faire des commissions, et je vous prie depardonner...

Clément a agité la main et a dit : 1---> - Reste a genoux et plus tard, quelqu’un viendra te donner une legon pour moi ! Avant cela, si tu oses bouger, je te casserai les mains et les pieds pour que tu ne puisses mpas étre un hoordinaire ! Entendant cela, Bédéric a tremblé d’effroi.

Il n’avait pas la téte a chercher qui Clément appellerait pour le faire, car en ce moment, il ne pouvait penser qu’a la menace jetée par Clément.

Il est déja devenu un hoordinaire, mais s'il était privé du droit d’étre un hoordinaire, il préférerait se laisser mourir...

Alors, il ne pouvait que dire d'une voix tremblante: 1. Clément, rassurez-vous, je vais rester a genoux jusqu’a ce que vous vous apaisiez...

Entendant cela, Ardouin et Maret étaient tous frappés de stupeur.

Maret ne pouvait pas s’empécher de penser : << Comment ga s'est passé ? Bédéric s'est si facilement abattu ? » En mtemps, Ardouin a aussi analysé la situation actuelle dans son cceur : << Maret et moi n’avons pas d’autre garde du corps dans cette piece que Bédéric, maintenant que Bédéric est abattu, nous ne pouvons vraiment plus résister contre Clément... » A cette pensée, il s'est levé et a dit en s’inclinant: 1. Clément, ne vous fachez pas, s'il vous plait...

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